Avant de prendre ma plume, je me suis agenouillée devant la statue de Marie: celle qui a donné à ma famille tant de preuves des maternelles préférences de la Reine du ciel ; je l'ai suppliée de guider ma main, afin de ne pas tracer une seule ligne qui ne lui soit agréable............

Comme le dit saint Paul:" Dieu a pitié de qui il veut, et il fait miséricorde à qui il veut faire miséricorde. Ce n'est donc pas l'ouvrage de celui qui veut , ni de celui qui court , mais de Dieu qui fait miséricorde." Thérèse de l'Enfant Jésus

jeudi 27 septembre 2012




Parole de Dieu : (Is 66, 1-2)


Ainsi parle le Seigneur : Le ciel est mon trône et la terre, 
l’escabeau de mes pieds.

 Quelle est donc la maison que vous bâtiriez pour moi ?
 Quel serait l’emplacement de mon lieu de repos ?

 De plus, tous ces êtres,
c’est ma main qui les a faits et ils sont à moi, tous ces êtres 
– oracle du Seigneur –, 

c’est vers celui-ci que je regarde : vers l’humilié, 
celui qui a l’esprit abattu, et qui tremble à ma parole





vendredi 21 septembre 2012

Ta grâce - GLORIOUS - album " Citoyens des Cieux"




Glorious à Baugé le 2 Novembre 2012

HOMÉLIE DE S. BÈDE LE VÉNÉRABLE

Matthieu se leva et suivit Jésus



Jésus vit un homme assis au bureau de la douane ; son nom était Matthieu. « Suis-moi », lui dit-il. Il le vit non pas tant avec les yeux du corps qu’avec le regard intérieur de sa miséricorde. 

Il vit le publicain, et parce qu’il le vit d’un regard qui prend pitié et qui choisit, il lui dit : « Suis-moi », c’est-à-dire imite-moi. 
En lui demandant de le suivre, il l’invitait moins à marcher derrière lui qu’à vivre comme lui ; car celui qui déclare demeurer dans le Christ doit marcher dans la voie où lui, Jésus, a marché.

~ Matthieu se leva et le suivit. Rien d’étonnant que le publicain, au premier appel impérieux du Seigneur, ait abandonné sa recherche de profits terrestres et que, négligeant les biens temporels, il ait adhéré à celui qu’il voyait dépourvu de toute richesse.
 C’est que le Seigneur qui l’appelait de l’extérieur par sa parole le touchait au plus intime de son âme en y répandant la lumière de la grâce spirituelle. Cette lumière devait faire comprendre à Matthieu que celui qui l’appelait à quitter les biens temporels sur la terre était en mesure de lui donner dans le ciel un trésor incorruptible. ~

Comme Jésus était à table à la maison, voilà que beaucoup de publicains et de pécheurs vinrent s’attabler avec lui et ses disciples. La conversion d’un seul publicain ouvrit la voie de la pénitence et du pardon à beaucoup de publicains et de pécheurs. 


~ Beau présage en vérité : celui qui devait être plus tard Apôtre et docteur parmi les païens entraîne à sa suite, lors de sa conversion, tout un groupe de pécheurs sur le chemin du salut ; et ce ministère de l’Évangile qu’il allait accomplir après avoir progressé dans la vertu, il l’entreprend dès les premiers débuts de sa foi. ~

Essayons de comprendre plus profondément l’événement relaté ici. Matthieu n’a pas seulement offert au Seigneur un repas corporel dans sa demeure terrestre, mais il lui a bien davantage préparé un festin dans la maison de son cœur par sa foi et son amour ; comme en témoigne celui qui a dit :


Voici que je me tiens à la porte, et je frappe :
 si quelqu’un entend ma voix et ouvre la porte,
 j’entrerai chez lui
 et je prendrai mon repas avec lui, et lui avec moi.







 ~ Nous ouvrons notre porte pour le recevoir à l’appel de sa voix lorsque nous donnons notre libre assentiment à ses avertissements intérieurs ou extérieurs et quand nous mettons à exécution ce que nous avons compris que nous devions faire.


 Et il entre pour manger, lui avec nous et nous avec lui, parce qu’il habite dans le cœur de ses élus, par la grâce de son amour ; ainsi il les nourrit sans cesse par la lumière de sa présence afin qu’ils élèvent progressivement leurs désirs, et lui-même se nourrit de leur zèle pour le ciel comme de la plus délicieuse nourriture

mercredi 19 septembre 2012

Connecté à Lui, ma vie s'éclaire et rayonne ...





« Voici que je me tiens à la porte et que je frappe." 



"C'est vrai ! Je me tiens à la porte de ton cœur, jour et nuit. 
Même quand tu ne m'écoutes pas, même quand tu doutes que ce puisse être moi, 
c'est moi qui suis là. 
J'attends le moindre petit signe de réponse de ta part,
 le plus léger murmure d'invitation, qui me permettra d'entrer en toi. 
Je veux que tu saches que chaque fois que tu m'inviteras, 
je vais réellement venir. 
Je serai toujours là, sans faute. 
Silencieux, invisible, je viens, mais avec l'infini pouvoir de mon amour.

Je viens, apportant tous les dons de l'Esprit Saint.
 Je viens avec ma miséricorde, avec mon désir de te pardonner,
 de te guérir, avec tout l'amour que j'ai pour toi ; 
un amour au-delà de toute compréhension, 
un amour où chaque battement du cœur est celui que j'ai reçu du Père même.
 Comme le Père m'a aimé, moi aussi je vous ai aimés. 
Je viens, assoiffé de te consoler, de te donner ma force, de te relever, 
de t'unir à moi, dans toutes mes blessures.

Je vais t'apporter ma lumière. 
Je viens écarter les ténèbres et tous les doutes de ton cœur. 
Je viens avec mon pouvoir capable de te porter toi-même et
de porter tous tes fardeaux. 
Je viens avec ma grâce pour toucher ton cœur et transformer ta vie. 
Je viens avec ma paix, qui va apporter le calme et la sérénité à ton âme. 
Je te connais de part en part. Je connais tout de toi. 
Même les cheveux de ta tête, je les tous comptés.
 Rien de ta vie n'est sans importance à mes yeux. 
Je t'ai suivi à travers toutes ces années et je t'ai toujours aimé, 
même lorsque tu étais sur des chemins de traverse. 
Je connais chacun de tes problèmes.
 Je connais tes besoins et tes soucis. "

Mère Térésa  Testament Spirituel

mardi 18 septembre 2012

J'ai soif de toi !!


"Je vais soigner tes blessures .
Je vais faire de toi , une nouvelle créature .
Je vais te donner la Paix, 
au coeur même de toutes tes épreuves .
Ne doutes jamais de ma Miséricorde , du fait que Je t'accepte sans cesse ,
 de mon Désir  de te pardonner ,
 de ma Soif ardente de te bénir .

J'ai soif de toi , Ouvre-toi à Moi .

Peu importe combien tu M'as oublié .
Maintenant Je te cherche à chaque instant de ta vie , 
Me tenant debout , à la porte de ton coeur et frappant .

Tu penses que c'est dur à croire ?

Alors regarde vers la Croix , 
regarde vers mon Coeur transpercé pour toi.

Regarde vers mon Eucharistie .

Tu n'as pas compris ma Croix?

Alors , écoute encore une fois ce que J'ai dit sur la Croix :
 J'ai soif ! Oui , J'ai soif de toi .

J'ai cherché quelqu'un pour combler mon Amour et 
Je n'ai trouvé personne .
Soit celui-ci .




J'ai soif de toi, de ton amour "

Mère Térésa  Testament Spirituel

vendredi 14 septembre 2012






Tu as voulu, Seigneur, 

que tous les hommes soient sauvés 

par la croix de ton Fils ; 


permets qu'ayant connu dès ici-bas ce Mystère,

 nous goûtions au ciel

 les bienfaits de la Rédemption .

Oraison

God Saw A Cross

mardi 11 septembre 2012

  

 
 
"La joie est une chaîne d'amour,
pour gagner les âmes.
 
 Dieu aime qui donne avec joie.
 
 Et celui qui donne avec joie
 donne davantage"
Mère Térésa

samedi 8 septembre 2012

vendredi 7 septembre 2012

Le beau message de Chiara et Enrico


Mourir pour donner la vie : le choix d’un couple
Famille chrétienne.fr 08/09/2012
Enrico Petrillo a perdu en juin dernier son épouse Chiara, atteinte d’un cancer à l’âge de 28 ans. Elle avait choisi de repousser autant que possible le début de son traitement pour donner naissance à Francesco, aujourd’hui âgé de 15 mois. Une interview poignante sur un choix déchirant.

 Choisir entre la vie de l’enfant et celle de la mère, quel dilemme… Avez-vous toujours été d’accord, votre épouse Chiara et vous, sur les décisions à prendre ?

Quand les médecins ont poussé Chiara à accoucher prématurément de Francesco pour commencer le traitement, j’étais partagé : je voulais que notre enfant puisse voir sa maman ; je voulais aussi que ma femme soit sauvée et puisse vivre. Donc, j’étais plutôt de l’avis des médecins. Mais Chiara s’y est opposée. Pour elle, c’était limpide : notre enfant devait avoir toutes ses chances de vivre. Ce n’est que plus tard que j’ai compris qu’elle avait raison.


Qu’est-ce qui a déterminé votre choix de ne pas suivre le traitement médical qui aurait peut-être sauvé Chiara, puisque l’Église vous laissait libre ?

Nous voulions préserver la vie de l’enfant qui nous était confié. En fait, nous n’avons pas eu de cas de conscience : la décision était évidente.
 Ce n’est pas nous qui donnons la vie, ce n’est pas à nous de l’enlever. Donc, ce n’était pas pour nous un choix, mais un chemin à parcourir que le Seigneur nous proposait. Nous l’avons parcouru.

Chiara a-t-elle connu la peur ?

Bien sûr. La peur de la souffrance, des nausées, de la douleur physique, etc. Mais en accueillant la grâce dans l’instant présent. Elle s’est montrée de plus en plus tendue vers les autres. Jusque dans ses derniers jours, elle confectionnait des cadeaux pour des amies malades. Je me souviens d’un sweat sur lequel elle avait brodé :
 « Courage, il faut bien que la nuit passe ».

Chiara me faisait penser à Jésus qui monte à Jérusalem et dont le visage, devenu
 « dur comme la pierre », montrait la résolution de mener à bien sa mission. Elle ne permettait pas à ses pensées d’aller au-delà du présent.


Vous avez prié pour sa guérison, mais Chiara n’a pas été guérie.N’êtes-vous pas en colère contre Dieu ?

La veille de sa mort, Chiara a reçu de notre père spirituel une dernière eucharistie, une dernière communion avant la Communion. Je l’ai entendue prier ainsi :
 « Seigneur, tu peux me guérir, mais sinon prends-moi vite, s’il te plaît ». Elle a ajouté, peu avant de mourir : « Le Seigneur m’a exaucée ! »

Le Seigneur nous a donné de voir plus loin, plus haut. Nous avons toujours senti sa main bienfaisante. Lorsqu’on me demande si je ne suis pas « fâché contre Dieu », je réponds :
 « Et toi, peux-tu m’aider ? ». Et j’ajoute :« C’est me fâcher contre Dieu qui aurait été le désespoir ».

Ce sentiment n’a jamais eu de place dans notre cœur. C’est le grand miracle de la présence de Dieu dans notre vie. Je suis émerveillé devant notre propre histoire. Si on m’avait dit, il y a quelques années, que j’allais vivre tant de beauté, jamais je ne l’aurais cru !

Ceux qui me disent
 « Dieu n’aurait pas dû le permettre » me font penser à Pierre, qui n’a rien compris lorsque Jésus lui annonce qu’il doit monter vers Jérusalem. Lorsque je vois ce Dieu attaché à la croix, l’idée de lui demander justice me fait un peu sourire…

Vous avez lu durant les obsèques de Chiara des extraits d’une lettre rédigée une semaine avant sa mort à l’intention de votre fils Francesco. Ne lui était-elle pas réservée ?

Je n’ai lu que certains passages qui ne s’adressent pas seulement à Francesco. Plus les jours passent, plus je réalise que Chiara est en train d’engendrer de très nombreux enfants par une maternité spirituelle. Elle montre d’ailleurs qu’un couple peut avoir une fécondité même s’il ne peut avoir d’enfants biologiques.
Luc Adrian
Pour lire l’article « L’hymne à l’amour de Chiara Petrillo » paru dans le n°1808 de Famille Chrétienne, abonnez-vous au magazine !

Tout est à vous, vous êtes au Christ



Tout est à vous: Paul, Apollos, ou Céphas, le monde, la vie ou la mort, le
présent ou l'avenir, tout est à vous, mais vous êtes à Christ et Christ est à
Dieu.  (1 Cor 3, 21-23)

Tout est à vous,
Tout est possible.
« Soyez féconds et prolifiques, remplissez la terre et dominez-la !»
L’avenir vous appartient.

Tout est à vous :
Paul, Apollos, Céphas, vos racines, vos origines, votre histoire sont à vous.
Le monde, la mort, la vie, à vous.
Le présent, l’avenir, l’espérance, à vous aussi.

Sans limite,
Sans frein, sans crainte.
Le monde vous appartient.

Tout est à nous.
Et nous à Christ.

« La sagesse de ce monde est folie devant Dieu !»
Elles sont vaines les pensées des sages, les ruminations, l’éloquence.
Nous avons beau dire, parler, faire des théories, élucubrer,
Nous croire important,
Afficher notre orgueil ou notre puissance.

Etre présent partout…
L’essentiel est ici :
Tout est à vous,
Vous à Christ.
Hommes, femmes
Nous sommes à lui.

Cette appartenance à Jésus rend tout possible !

Nous sommes à Christ, à personne n’autre. 
Nous n’avons pas à nous justifier d’exister,
Ni à nous excuser de notre identité,
Ou à nous racheter pour vivre.

Nous sommes à lui, à lui seul,
Personne n’a le moindre droit sur nous,
Personne n’a d’autorité sur nous,
Nous sommes à lui, à Christ.
Libres, libérés, rachetés, sauvés, aimés.
Nous sommes présents, important, vital pour Lui. 

Tout est à vous
Vous à Christ
Christ à Dieu.

Christ, Messie, 
Lui, la vie, la vérité, l’avenir.
Christ est à Dieu

Lui la source de tout être
De toute vie, de tout amour.
Christ est à Dieu
Il nous conduit à Dieu, 
Il établit le lien de vie et de salut,
Espérance d’un avenir en communion.

* * *

Cela va de pair : être à Christ et être le temple de Dieu.
« Vous êtes le temple de Dieu, l'Esprit de Dieu habite en vous. Le temple de Dieu est
saint et ce temple, c'est vous »

Tout est à vous,
Vous êtes à Christ, 
Vous êtes le temple du Seigneur
De Dieu
Là où est présent son Esprit.

Hommes et femmes
Ici, maintenant et dans le monde entier,
Tous nous sommes le temple du Seigneur,
Le lieu de sa vie, de son esprit, de sa révélation, de sa création.
Corps du Christ, de Dieu.

L’homme, la femme
Avec tout ce qu’elle a, tout ce qu’il est, 
Moi, comme je suis, 
Avec mes qualités, mes défauts, mes particularités, 
Je suis temple du Seigneur
Lieu où il se révèle.
Où Dieu est présent, signifié.

L’appel que Dieu adresse à l’homme,
La vocation des chrétiens
Notre identité,
C’est d’être Son temple.
Lieu de Dieu, présence de Dieu 
Au cœur de ce monde, au cœur de sa création,
Au cœur de son agir.

Tout est à nous
Tout, totalement,

De manière libre et autonome,
Intensité de vie.

Tout à nous
Et nous à Christ
Son temple
Son lieu de révélation, d’action, de vie. 

Lieu où Dieu se révèle, 
Lieu du sacré, de Sa présence.

* * *

L’Evangile, Parole de vie et de vérité.
Témoigne de notre position d’homme, de femmes face à Dieu, face aux autres
humains, face à la création.
De ce lien entre Dieu et l’homme, de ce lien qu’établit Jésus-Christ.
Il précise la position de l’homme face à Dieu, envers les autres êtres vivants, et face
à toute la création.

Nous ne sommes pas soumis à la fatalité, ni à quiconque, mais nous sommes à
Christ.
Et le Christ est à Dieu, le Créateur, le Sauveur.
L’Evangile nous rappelle notre vocation :
Tout est à vous, 
Vous êtes libres et libérés, sauvés.

Nous appartenons à Christ, à personne d’autre,
Nous sommes ses partenaires dans la création de Dieu.
Car Christ est à Dieu, 
Espérance de renouveau grâce au Dieu de vérité, de sens, d’avenir.

* * *

Tout est à nous, nous sommes à Christ :
L’Evangile parle de liberté et de lien, du sens.

Pas moralisante, ni culpabilisant
Comme si Dieu nous donnait d’une main, voudrait nous reprendre de l’autre, juste
pour montrer sa supériorité et son pouvoir.

Pas non plus une ascèse, qui devrait nous limiter pour recevoir le Christ, pour être à
lui. 

L’Evangile est un évangile de salut et de vie : 
Dieu nous veut vivant, debout, orienté vers l’avant, vers le Christ et la vérité.  4
Il nous veut en lien, debout, vivant, ouverts, curieux, aimant.
Debout mais vulnérable,

Nous cherchons la vérité,
Silencieusement, attentivement.

Nous sommes tournés vers Dieu, vers le sacré, sa vérité.
Cherchant et espérant.
La foi est une recherche, une quête de conscience et d’être. 

Nous sommes debout devant Dieu et le divin, avec d’autres qui cherchent ce chemin
de Vie.  Certains le font différemment que nous, à travers d’autres symboles religieux, d’autres références de foi,

Nous sommes debout devant Dieu et le divin, avec d’autres qui cherchent ce chemin  de Vie. Certains le font différemment que nous, à travers d’autres symboles religieux, d’autres références de foi,
Mais tous, nous sommes en quête, en attente, en espérance.

Ouvert à l’Esprit, à Dieu qui ne cesse de venir.

Aussi nous sommes aussi pleins de reconnaissance pour la vie et pour la force qui est dans la création. 

Cette grâce qui rend toujours possible

La transcendance de notre être.

Elle nous permet d’aller un pas en avant,
En tâtonnant
Cherchant la lumière.
Amen

Pasteur M. Pedroli
Nidau, 6 avril 2008

mercredi 5 septembre 2012

A l'école de la Sagesse

 

St Louis Marie Grignon de Montfort se pose la question :
 
 
 
 
"Peut-on aimer ce qu'on ne connait pas?
                                 Peut-on aimer ardemment ce qu'on ne connait qu'imparfaitement ?
                        
                           Pourquoi est-ce qu'on aime si peu la Sagesse éternelle et incarnée,
                                                l'adorable Jésus, sinon parce qu'on ne la connaît pas, ou très peu ? "

Amour de la Sagesse Eternelle n° 8.
 

Laissons Louis Marie nous faire connaitre
                                 Jésus-Christ Sagesse de Dieu
 

" La Sagesse n'est que bonté, et que douceur...
                                      Elle est donnée par l'amour, et formée par l'amour.
                             Elle est donc toute d'amour, ou plutôt l'amour même du Père
                                                           et du St Esprit"

Amour de la Sagesse Eternelle 118



Bonté, douceur, amour... Comment ces paroles retentissent-elles dans mon coeur ? Je laisse monter en moi les passages de la vie de Jésus qu'évoquent ces mots, et je contemple la bonté, la douceur, l'amour de la Sagesse .
 
 

Mère Térésa


 
 
 
Mon secret est infiniment simple :
je prie .
 
Par la prière ,
 je deviens une dans l'Amour avec le Christ .
 
Je sais que Le prier ,
c'est L'aimer .